Richard Vainopoulos fait le point sur la situation de TourCom

Le Président de TourCom, Richard Vainopoulos s’est exprimé sur la situation actuelle de son réseau face à la conjoncture économique et sociale actuelle.

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TourCom, un réseau d’agences de voyages en bonne santé

Avec une hausse notable des volumes d’affaires de TourCom pour le TO, le réceptif sur mesure et le vol sec, Richard Vainopoulos affirme être satisfait des résultats financiers du réseau en 2015. Même les agences adhérentes et les 800 points de vente du réseau ne semblent pas avoir trop souffert de la crise économique et des événements survenus l’année dernière. Les alliances avec Avitour et RKt ont par ailleurs favorisé le développement des activités de TourCom.

Concernant l’annulation de la convention annuelle de TourCom de 2015, le président du réseau l’explique par la perte de temps considérable nécessaire à l’organisation de ce type d’événements. Cela laisse plus de temps aux équipes du réseau pour se déplacer et se rapprocher un peu plus des membres et des agents de voyage. En outre, les workshops ont été maintenus.

La montée du collaboratif n’est pas une menace pour TourCom

Richard Vainopoulos ne s’estime pas menacé par le développement du collaboratif, qu’il ne considère pas comme des agents de voyages. Il ne lui prend par ailleurs aucune part du marché destiné à son réseau. En effet, le collaboratif ne faisant pas dans les services et voyages sur mesure et misant plus sur les prix les plus bas ne sont pas en mesure de concurrencer TourCom qui se concentre plutôt sur le haut de gamme.

L’autre raison qui explique que le collaboratif ne représente pas de danger majeur pour TourCom, toujours selon son président, c’est l’effet boule de neige qui risque de désillusionner les fournisseurs de cette catégorie de professionnels, tels les propriétaires qui collaborent avec Airbnb et Uber.

Richard Vainopoulos, des ambitions politiques ?

Il semble que Richard Vainopoulos ait son mot à dire sur de nombreux sujets qui touchent non seulement au social, mais également à la politique et à l’économie, tous les secteurs qui touchent de près ou de loin son secteur d’activité. Le président de TourCom affirme toutefois que bien qu’il exprime toujours ses idées sur ces domaines, il n’a aucune ambition politique professionnelle et ne compte sûrement pas devenir le prochain ministre du Tourisme.

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